En avril 2002,
Radio Junior se porte candidate pour l'attribution d'une
fréquence AM sur l'Ile-de-France.
En juillet 2002,
la candidature de Radio Junior pour une fréquence FM sur
Paris est écartée par le CSA. La haute autorité
estime "qu'on ne peut pas attribuer une fréquence à une
radio pour enfants sur Paris puisque Fréquence Paris
Plurielle et Radio Libertaire font déjà chacune une
émission pour les enfants". La radio conteste cette
explication répondant que deux radios jazz existent sur
la bande FM parisienne.
En février 2005, le
Conseil d'Etat annule la décision du CSA rejetant la
candidature de Radio Junior lors de l'appel à
candidatures sur la région parisienne. Pour la haute
juridiction, la décision du CAS est fondée "sur des
motifs matériellement inexacts". Le Conseil d'Etat
annule la décision du CSA du 22 octobre 2002 "en tant
qu'elle rejette la candidature de l'association Radio
Junior pour l'exploitation d'un service de
radiodiffusion sonore dans la zone de Paris". Cette
décision remet donc en cause les autorisations délivrées
par le CSA aux stations Ado FM, Générations Paris Jazz,
TSF et France Maghreb. Tout en rejettent la demande
d'attribution une fréquence à Radio Junior à Paris, le
Conseil d'Etat a demandé le réexamen de la candidature
de Radio Junior.
En 2005,
Radio Junior participe à des essais de diffusion en DAB.
Le 19 juin 2012,
le CSA publie la liste des radios dont le dossier est
recevable pour une diffusion numérique sur les zones de
Marseille, Nice et Paris. Radio Junior fait partie des
élues.
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