En avril 1982, René Baldaccini, producteur musicale, lance Radio Star à Marseille. C'est dans la propriété de son oncle, le sculpteur César, qu'il installe son premier studio. La radio déménagera très vite dans des locaux situés sur le Vieux Port de la Cité phocéenne.
En 1983, Radio Star obtient son autorisation d'émettre à Marseille et débute ses programmes avec des chansons des années 1970 et 1980.
Dans la deuxième moitié des années 1980, Radio Star est la première radio musicale sur Marseille. Elle organise même "les Antennes d'or", un spectacle annuel avec des vedettes de la chanson. Mais elle doit faire face à l'arrivée de réseaux nationaux et au développement d'autres radios locales. De plus en plus d'annonceurs se tournent vers Europe 2, NRJ, Skyrock ou Radio Services. Radio Star se montre alors dans l'incapacité de faire face à cette nouvelle situation.
En 1990, la politique commerciale de la station est si mauvaise que le service publicité devient dépendant de celui de RMC. Même son code minitel est rattaché à la généraliste : 36 15 code RMC / rubrique Star.
En 1991, la radio est au bord de la faillite et le CSA ne renouvelle pas sa fréquence à Marseille. Toutefois, après quelques semaines de silence, Radio Star reprend ses activités sur une nouvelle fréquence mais comme programme local de Fun Radio.
En 1996, Radio Star reprend son indépendance et obtient une seconde fréquence sur l'Etang de Berre. La radio fait le choix d'un format musical tourné vers les seniors. C'est un échec total, l'image dégagée par la radio est jeune ce qui n'est pas en adéquation avec son format musical.
En 1996 [date à confirmer], la société Intercom 13 est fondée et prend la gestion de la radio commerciale.
En 1998, Radio Star fait le pari d'un nouveau changement pour se relancer : elle adopte un format musical type top 40 agrémenté de quelques titres gold, funk et rap marseillais. La station retrouve très vite son public jeune et le succès. La même année, la radio s'offre une belle publicité en apparaissant dans le film "Taxi" de Gérard Pirès.